Géographie historique et communale de la Charente.... par J. Martin-Buchey,... Martin-Buchey, Jules (1850-1918).
Superficie = 490 h. 79 ; Population = 221 habitants.
Cette commune est une des moins étendues du canton et en est la moins peuplée après celle de Saint-Avit. Arrosée par la Viveronne et par son affluent, l'Auzance, qui se rejoignent un peu au-dessus du bourg de Curac, elle possède de bonnes prairies et les veaux qu'on y élève sont tout particulièrement recherchés par les bouchers parisiens.
L'agriculture est un peu en retard ; néanmoins depuis quelques années, des progrès sensibles ont été réalisés et les terres en friche deviennent de plus en plus rares. Les bois sont assez importants et couvrent environ le cinquième de la superficie totale de la commune. L'industrie est absolument nulle.
Au sud du bourg de Curac est l'importante propriété du May appartenant à M. Denis.
La principale voie de communication est la route de Chalais à Blanzac (chemin de grande communication n° 20 de la Genétouze à Aigre), qui sert de limite orientale à la commune et la sépare de celle de Sainte-Marie. Un chemin d'intérêt commun dessert l'extrême nord de la commune qui, en dehors de ces deux routes, ne possède que des chemins vicinaux ordinaires.
Le bourg de Curac (21 hab.), à trois kilomètres nord de Chalais et vingt-huit kilomètres de Barbezieux, est construit dans une agréable situation au sommet d'une colline qui domine la vallée de la Viveronne. Le climat y est très salubre et de nombreux convalescents s'y rendent pour achever leur guérison.
Cette commune est une des moins étendues du canton et en est la moins peuplée après celle de Saint-Avit. Arrosée par la Viveronne et par son affluent, l'Auzance, qui se rejoignent un peu au-dessus du bourg de Curac, elle possède de bonnes prairies et les veaux qu'on y élève sont tout particulièrement recherchés par les bouchers parisiens.
L'agriculture est un peu en retard ; néanmoins depuis quelques années, des progrès sensibles ont été réalisés et les terres en friche deviennent de plus en plus rares. Les bois sont assez importants et couvrent environ le cinquième de la superficie totale de la commune. L'industrie est absolument nulle.
Au sud du bourg de Curac est l'importante propriété du May appartenant à M. Denis.
La principale voie de communication est la route de Chalais à Blanzac (chemin de grande communication n° 20 de la Genétouze à Aigre), qui sert de limite orientale à la commune et la sépare de celle de Sainte-Marie. Un chemin d'intérêt commun dessert l'extrême nord de la commune qui, en dehors de ces deux routes, ne possède que des chemins vicinaux ordinaires.
Le bourg de Curac (21 hab.), à trois kilomètres nord de Chalais et vingt-huit kilomètres de Barbezieux, est construit dans une agréable situation au sommet d'une colline qui domine la vallée de la Viveronne. Le climat y est très salubre et de nombreux convalescents s'y rendent pour achever leur guérison.
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