Géographie historique et communale de la Charente.... par J. Martin-Buchey,... Martin-Buchey, Jules (1850-1918).
COMMUNE DE SALLES-DE-BARBEZIEUX
Superficie 983 h. 60 ; Population == 354 habitants.
Située au sud-est de Barbezieux, la commune de Salles s'étend en longueur, du nord au sud, entre les vallées du Beau, à l'est, et de son affluent, le Condéon, à l'ouest. Dans sa plus grande longueur, le territoire de cette commune mesure près de six kilomètres, alors que sa plus grande largeur n'atteint pas trois kilomètres.
L'espace compris entre les deux vallées forme une colline allongée, dépassant, au sud, l'altitude de quatre vingt-dix mètres et s'infléchissant, au levant et au couchant, en pentes assez douces, jusqu'aux deux cours d'eau qui forment la limite de la commune.
Le sol est généralement fertile. Il se prêtait tout particulièrement à la culture de la vigne ; aussi la crise phylloxérique a-t-elle été des plus préjudiciable à cette commune. De 1876 à 1891, époque de la disparition du vignoble, le chiffre de la population est tombé de quatre cent cinquante habitants à trois cent trente-neuf, diminuant ainsi de plus d'un quart. Depuis cette époque, la population s'est maintenue à peu près stationnaire et a même légèrement augmenté, grâce à l'arrivée dans le pays de nombreuses familles vendéennes.
Ces nouveaux venus préfèrent l'élevage et la culture des céréales à la culture de la vigne ; aussi, bien que quelques vignes aient été replantées, la principale culture est celle des céréales et des plantes sarclées. Ajoutons que quelques bois sont disséminés sur le territoire de la commune.
L'industrie est représentée par quelques moulins peu importants.
Située au sud-est de Barbezieux, la commune de Salles s'étend en longueur, du nord au sud, entre les vallées du Beau, à l'est, et de son affluent, le Condéon, à l'ouest. Dans sa plus grande longueur, le territoire de cette commune mesure près de six kilomètres, alors que sa plus grande largeur n'atteint pas trois kilomètres.
L'espace compris entre les deux vallées forme une colline allongée, dépassant, au sud, l'altitude de quatre vingt-dix mètres et s'infléchissant, au levant et au couchant, en pentes assez douces, jusqu'aux deux cours d'eau qui forment la limite de la commune.
Le sol est généralement fertile. Il se prêtait tout particulièrement à la culture de la vigne ; aussi la crise phylloxérique a-t-elle été des plus préjudiciable à cette commune. De 1876 à 1891, époque de la disparition du vignoble, le chiffre de la population est tombé de quatre cent cinquante habitants à trois cent trente-neuf, diminuant ainsi de plus d'un quart. Depuis cette époque, la population s'est maintenue à peu près stationnaire et a même légèrement augmenté, grâce à l'arrivée dans le pays de nombreuses familles vendéennes.
Ces nouveaux venus préfèrent l'élevage et la culture des céréales à la culture de la vigne ; aussi, bien que quelques vignes aient été replantées, la principale culture est celle des céréales et des plantes sarclées. Ajoutons que quelques bois sont disséminés sur le territoire de la commune.
L'industrie est représentée par quelques moulins peu importants.
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