Coteaux-du-Blanzacais (16046) Blanzac-Porcheresse - Cressac - Saint-Genis - Saint-Léger

Églises Saint Arthémy.  Architecture Romane











 
CHAMPAGNE de BLANZAC DEBUT XXème siècle. Le Maine Giraud - Ancienne demeure du poète Alfred de Vigny. Il y a quelques années cette commune a pris le nom de  CHAMPAGNE de VIGNY
BLANZAC- FAUBOURG SAINT-ANDRE - (1904)

Géographie historique et communale de la Charente
Géographie historique et communale de la Charente 1914-1917



CANTON DE BLANZAC

Superficie = 23054 hect. 43; Population == 8767 habitants.

Le canton de Blanzac situé au sud de l'arrondissement d'Angoulême, est entièrement compris dans le bassin de la Charente, à l'exception d'une partie de la commune d'Aignes-et-Puypéroux, qui envoie ses eaux à la Tude. C'est une contrée très accidentée ; le nord en est parcouru par une haute chaîne de collines, qui sépare le bassin de la Charente de celui du Né ; une autre chaîne de collines élevées court entre les vallées du Né et de son affluent, l'Herse. Comme dans le canton voisin de Villebois-Lavalette le sommet des collines est généralement couvert de bois touffus.

Le principal cours d'eau du canton est le Né, qui prend sa source au village de Chez-les-Camps, dans la commune de Voulgézac, arrose la ville de Blanzac, se grossit de plusieurs affluents et sort du canton dans la commune de Péreuil. Les principaux de ses affluents sont, sur la rive gauche, l'Herse et le Lamaury et, sur la rive droite, le Ruinet et l'Ecly.

La partie orientale du canton est arrosée par la Boëme, qui prend sa source dans la commune de Chadurie et traverse, dans sa plus grande largeur, l'importante commune de Mouthiers.

Le canton de Blanzac est limité, au nord, par le canton d'Angoulême-Sud, à l'ouest, par les cantons de Châteauneuf et de Barbezieux, au sud, par le canton de Montmoreau, et à l'est, par le canton de Villebois-Lavalette.

Grand pays de vignobles, le canton de Blanzac produisait des eaux-de-vie très estimées, classées comme petites champagnes. Aussi moins grande qu'elle ne l'était autrefois, la quantité de vin récoltée est sensiblement la même, grâce aux nouvelles méthodes de culture qui permettent de plus grands rendements à l'hectare.

L'abondance des cours d'eau a également permis l'établissement de très bonnes prairies ; aussi l'élevage du bétail donne-t-il d'excellents résultats et est-il la source de revenus importants.

Malgré le grand nombre de cours d'eau qui parcourent le canton, l'industrie y est peu développée. Une seule commune fait exception, celle de Mouthiers, où l'on remarque la magnifique usine à papiers de La Rochechandry.

Le canton de Blanzac comprend les dix-neuf communes suivantes: Blanzac, Péreuil, Porcheresse, Cressac, Saint-Genis, Saint-Léger, Pérignac, Bécheresse, Champagne, Aubeville, Jurignac, Étriac, Mainfonds, Plassac-Bouffiac, Claix, Mouthiers, Voulgèzac, Chadurie et Aignes-et-Puypéroux.

Églises Saint Arthémy.  Architecture Romane
Églises Saint Arthémy.  Architecture Romane

COMMUNE DE BLANZAC

Superficie = 483 hect. 23; Population = 910 habitants.

Il serait bien difficile d'établir, même approximativement, l'époque de la fondation de Blanzac. Il est probable que les premières maisons se construisirent autour de l'abbaye qu'y fondèrent les moines Bénédictins, mais il est également impossible de préciser l'époque à laquelle ces moines vinrent s'établir dans le pays.

Nous possédons bien, aux Archives départementales, le texte d'une délibération, prise le 2 mai 1760, par les membres du Chapitre, délibération par laquelle nous apprenons que le pape Alexandre III, dans une bulle délivrée en 1170, considérait cette abbaye comme « l'une des plus anciennes abbayes qui avaient été  « fondées dans les vastes déserts de la Gaule par les vénérables solitaires bénédictins. »

Mais la bulle du pape Alexandre III ajoute que les moines s'établirent en premier lieu à Puypéroux et se retirèrent ensuite à Blanzac.

Toujours est-il que, vers le douzième siècle, Blanzac devint le siège d'une baronnie, qui fut une des plus belles possessions des comtes de La Rochefoucauld.

Ces derniers construisirent le château et entourèrent la ville d'une enceinte fortifiée. Ainsi protégée contre l'ennemi du dehors, la ville s'agrandit et prit une grande importance. Six foires, créées par les seigneurs et qui se tenaient les 15 janvier, 22 février, 25 avril, 6 juin, 25 juillet et 25 novembre, vinrent faciliter les transactions et accroître la prospérité des habitants.

Cette prospérité allait être soumise à une rude épreuve.
s'étaient brouillés. Le roi d'Angleterre, en traversant l'Allemagne, avait été retenu prisonnier. Profitant de cette circonstance, Philippe-Auguste avait encouragé les seigneurs de l'Aquitaine à se soulever contre leur suzerain. Ce dernier, ayant recouvré sa liberté, accourut en Angoumois, s'empara de la ville d'Angoulême et vint mettre le siège devant Blanzac, qui faisait cause commune avec les révoltés. Il s'empara d'abord de la partie haute de la ville que les habitants avaient désertée, les uns se réfugiant dans l'enceinte du château, les autres se dispersant dans les campagnes voisines.

Le roi anglais tourna alors tous ses efforts contre le château, qui lui opposa une vigoureuse résistance. Deux fois les assiégés repoussèrent les attaques furieuses des Anglais, mais un troisième assaut livra la place à ces derniers.

La ville de Blanzac expia durement sa résistance: elle fut pillée et incendiée ; ses murailles furent détruites et son château démantelé.

Après avoir satisfait leur vengeance, les Anglais s'éloignèrent et Blanzac se releva lentement de ses ruines. Les seigneurs de La Rochefoucauld réparèrent le château et relevèrent la muraille de la
cité. Ce ne fut cependant qu'après la désastreuse guerre de Centans que Blanzac put recouvrer son ancienne prospérité.

De nouvelles calamités n'allaient pas tarder à fondre sur la petite cité et à y semer de nouveau la misère et la ruine.

Nous avons vu, dans notre Précis historique, comment les provinces de l'ouest s'étaient soulevées, sous le règne du roi Henri II, pour s'affranchir de l'impôt sur le sel ou gabelle. Ce mouvement insurrectionnel prit naissance dans les environs de Blanzac et la population de cette petite ville prit parti pour les insurgés; le curé de Cressac, petite paroisse des environs, souleva lui-même ses paroissiens et se mit à leur tête. Lorsque le connétable de Montmorency eut réprimé l'insurrection (on sait avec quelle rigueur), il laissa à Blanzac une garnison de lansquenets, qui se livrèrent à tous les avoir été mêlée aux guerres religieuses de la fin du seizième siècle.

C'est vers cette époque que la baronnie passa aux mains de la famille de Roye de Roussi, qui formait une branche de celle de La Rochefoucauld.

Le 4 février 1712, François de Roye vendit la baronnie de Blanzac, en même temps que celle de Marthon, à Etienne Chérade, lieutenant-général d'Angoumois et comte de Montbron. Par son mariage,
la fille d'Etienne Chérade, Marguerite, porta, en 1721, la seigneurie de Blanzac à Jacques Le Musnier, chevalier, seigneur de Lartige, Raix et Rouffignac, qui eut pour héritier son fils, Louis Le Musnier,
plus connu sous le nom de M. de Raix. Ce dernier joua un rôle assez important; ce fut lui en effet qui, le 18 mars 1789, présida l'assemblée du Tiers-Etat, tenue à Angoulême pour l'élection des députés de cet ordre aux Etats-Généraux. Il mourut en 1807, à l'âge de 81 ans, laissant son héritage à ses neveux.

Jusqu'au dernier quart du dix-neuvième siècle, Blanzac conservades ruines importantes de son ancien château. Mais, en 1881, ces ruines furent abattues pour faire place à la maison d'école ; on en conserva seulement une tour, qui domine fièrement la ville. L'esplanade du château forme une magnifique  promenade, plantée d'arbres, d'où la vue se repose agréablement sur la ville et sur la
vallée du Né.

Blanzac posséda trois églises, dont deux furent paroissiales : 
  • 1° Saint Nicolas, près de la porte Salinière, qui fut paroissiale à l'origine et dont le titre paroissial passa à Saint-Arthémy, vers 1520; 
  • 2° Saint-André, dont il reste encore une jolie façade romane et qui fut annexée elle-même à l'église de Saint-Arthémy en 1673 ; 
  • 3°enfin la belle église de Saint-Arthémy, dont la masse imposante domine toute la petite cité.

Cette dernière église mérite une mention toute particulière. Ainsi que nous l'avons dit au commencement de cette notice, elle la placèrent sous l'invocation d'un saint personnage, qui, suivant
Grégoire de Tours, fut évêque de Clermont au quatrième siècle.

Au douzième siècle, cette église devint collégiale.

C'est un monument extrêmement intéressant, comprenant trois parties d'époques différentes :
1° Un clocher du onzième siècle, seul reste d'un édifice primitif. Isolé au milieu du transept, il est remarquable par sa belle coupole.  Il comprend trois étages : les fenêtres du second étage sont couronnées d'un pignon triangulaire, ce quiexiste également à Pérignac.

Rien de singulier comme l'aspect de l'intérieur de l'église avec ce clocher roman, supporté par quatre piliers carrés, formant entre eux quatre arcades en plein cintre.
La partie supérieure de cette belle tour a été détruite par la foudre en 1816, et reconstruite sans plan et sans art.
2° Une abside de très vastes proportions, de style roman ogive de la fin du douzième siècle ou du commencement du treizième.
C'est incontestablement la plus belle du diocèse d'Angoulême, après celle de la cathédrale.
Les murailles, admirablement appareillées, sont ornées à l'intérieur d'arcatures dont les arêtes sont ondulées en festons, ce qui est extrêmement rare. La sculpture indique un art fort avancé.
3° La nef et les croisillons sont du treizième siècle. La façade est d'un style très pur et d'un dessin fort original.
Blanzac est aujourd'hui une petite ville très agréablement située sur le Né, à vingt-six kilomètres sud d'Angoulême, à laquelle la reconstitution du vignoble a donné une nouvelle activité commerciale ; d'importantes maisons, parmi lesquelles nous pouvons citer les maisons A. Dubois, Magnier, Balluteau, y représentent le commerce d'exportation pour les eaux-de-vie. La ville compte aujourd'hui environ huit cents habitants ; elle est le centre d'un commerce très actif. Les foires, qui sont au nombre de douze et qui se tiennent
Bien que la ville de Blanzac soit située au point de jonction de plusieurs routes importantes, son accès était assez difficile jusqu'à ces dernières années. Elle se trouvait, en effet, à treize kilomètres de la station de chemin de fer la plus rapprochée, et les correspondances n'étaient pas toujours bien régulières. Aujourd'hui, il n'en est plus ainsi ; Blanzac est relié directement, par un réseau de chemins de fer à voie étroite, à Angoulême, à Barbezieux et à Villebois-Lavalette.

La principale route est la route départementale N° 10 de Cognac à Ribérac, qui se croise à Blanzac avec la route de Barbezieux à Charmant (chemin de grande communication N° 5 de Barbezieux à
Larochebeaucourt) et avec la route d'Hiersac à Chalais (chemin de grande communication N° 7 d'Aigre à Guîtres). De plus, un chemin d'intérêt commun unit Blanzac au bourg voisin de Pérignac.
La commune de Blanzac est peu étendue, elle est bien cultivée et son sol se prête bien à la culture des céréales. Quelques vignobles y ont été reconstitués, mais elle possède principalement de magnifiques prairies, arrosées par le Né qui parcourt tout le sud de la commune.
Parmi les quelques villages de la commune, nous devons une mention particulière au petit village de Puygrelier, ancien fief dont les possesseurs ont joué un rôle important dans l'histoire municipale d'Angoulême. 




COMMUNE DE PORCHERESSE

Superficie = 598 hect. 04; Population = 211 habitants.

Le sud de cette petite commune est traversé, de l'est à l'ouest, par la chaîne de hautes collines, qui sépare le bassin du Né de celui de son affluent, l'Herse. Près de l'église de Porcheresse, cette chaîne de collines atteint la cote d'altitude de cent cinquante-deux mètres.

De ce point élevé la vue est admirable, dominant au nord Blanzac et les nombreux villages de la commune, et au sud, les riches campagnes des communes de Cressac et de Saint-Genis.

Au nord, le sol s'abaisse progressivement jusqu'au Né qui forme la limite septentrionale de la commune. Au sud, le petit ruisseau de Saint Léger sépare Porcheresse de la commune voisine de Saint-Genis.

L'agriculture est des plus prospères ; le sol est fertile et se prête à tous les genres de cultures, surtout dans la vallée du Né dont les prairies fournissent d'excellents fourrages. La reconstitution du vignoble se poursuit depuis quelques années.

L'industrie est représentée par le moulin de Burette, mis en mouvement par le Né.

La principale voie de communication est la route de Blanzac à Chalais (chemin de grande communication N° 7 d'Aigre à Guîtres), d'où se détachent un chemin d'intérêt commun se dirigeant vers
Saint-Léger et plusieurs chemins vicinaux ordinaires.

Il n'y a pas de bourg de Porcheresse. L'église se dresse, solitaire, au sommet d'un rocher, d'où l'on domine Cressac et Saint-Genis.(...)
Près de l'église, on voit la magnifique propriété de Rellevue, ancien fief dépendant de la baronnie de Blanzac ; cette belle propriété appartient aujourd'hui à la famille de Bourdage.

Il n'y a, pour ainsi dire, pas d'agglomérations dans la commune de Porcheresse ; les principaux villages ne se composent que de quelques maisons. Nous citerons cependant: Chez-Barraud (14 hab.),
sur la route de Chalais; Chez-Tachet et le Maine Dumont, à l'extrémité occidentale de la commune ; Berzauge, sur la route de Blanzac ; Chez-Limousin, à la limite de la commune de Cressac,
etc., etc.


COMMUNE DE CRESSAC

Superficie = 432 hect. ; Population = 173 habitants.

Cette petite commune joua un rôle important, à l'une des époques les plus troublées de notre histoire locale. Elle fut en effet activement mêlée au mouvement insurrectionnel de la gabelle. Le curé de la paroisse, Jean Morand, s'était mis à la tête de ses paroissiens révoltés ; il fut un des principaux chefs de l'insurrection, et, lorsqu'il eut été pris, il fut condamné à mort et brûlé vif à Angou-
lême.

A cette époque, Cressac devait être beaucoup plus important qu'il ne l'est aujourd'hui ; car la cure donnait à son possesseur des droits seigneuriaux sur le pays.

L'Herse, affluent du Né, parcourt le sud de la commune et est rejoint par le petit ruisseau de Saint-Léger, qui, venu de cette dernière commune, traverse celle de Cressac du nord-est au sud-ouest.

Favorisée par ces deux cours d'eau, qui baignent de bonnes prairies, l'agriculture est très prospère. Autrefois les coteaux étaient couverts de magnifiques vignobles, dont les produits étaient des plus estimés. La plupart de ces vignobles ont disparu et ont été remplacés par des céréales ; cependant il existe encore environ vingt-cinq hectares plantés en vignes.

La principale voie de communication est la route de Blanzac à Chalais (chemin de grande communication N° 7 d'Aigre à Guîtres). Il s'en détache un chemin d'intérêt commun, qui unit le bourg de Cressac à celui de Bessac, et plusieurs chemins vicinaux ordinaires.
(...)
Le clocher est orné sur ses faces latérales et sur la face de l'est, au dessus de l'abside, de deux hautes arcatures d'ornementation. Ce système de construction soulage les murs en donnant une grande
légèreté à l'aspect de ces lourdes tours romanes. Les villages les plus importants sont le Temple (25 hab.) et les Aunais (40 hab.).

Le premier de ces villages, situé à l'extrémité septentrionale de la commune, doit son nom à une ancienne commanderie de Templiers, dont il reste encore la chapelle. Cette chapelle est remarquable par de nombreuses fresques naïves, qui en décoraient les murs et qui dataient de l'époque de sa construction. Malheureu sement, un grand nombre de ces fresques ont été détériorées.

Dernièrement cette chapelle à été acquise par M. Deproix, pasteur protestant à Barbezieux, qui l'a fait restaurer, et tout porte à croire que ce qui subsiste de ces fresques sera désormais respecté.

Le village des Aunais était un ancien fief dépendant de la seigneurie de la Faye, qui appartenait à la famille de Saint-Simon. L'ancien logis vient d'être restauré et remis à neuf par son propriétaire actuel,
M. Chadeffaud, ingénieur.

COMMUNE DE SAINT-GENIS

Superficie = 446 hect. 12; Population = 129 habitants.

La commune de Saint-Genis est la plus méridionale du canton de Blanzac. C'est la moins peuplée et l'une des moins étendues du canton.

Elle présente la plus grande analogie avec la commune de Cressac,sa voisine : l'aspect du pays est le même ; cependant il y a plus de bois et de terrains incultes dans Saint-Genis.

Cette commune est limitée, au sud, par l'Herse et au nord, par le ruisseau de Saint-Léger. Elle est desservie par quelques chemins vicinaux ordinaires et par la route de Blanzac à Chalais (chemin de grande communication N° 7 d'Aigre à Guîtres), qui la sépare, à l'ouest, de la commune de Cressac.

Il n'y a aucune habitation près de l'église, petit édifice du douzième siècle, en forme de croix latine, dont la coupole octogonale est remarquable.

COMMUNE DE SAINT-LÉGER

Superficie = 438 hect. ; Population = 190 habitants.

Si cette commune est peu étendue et peu peuplée, elle n'en est pas moins des plus fertiles. Plusieurs cours d'eau et de nombreuses fontaines entretiennent dans le sol une humidité bienfaisante, qui
favorise l'établissement de prairies magnifiques, renommées par la qualité de leurs fourrages.

L'un de ces cours d'eau, le Pont-Ramè, descend des hauteurs boisées qui couvrent le sud de la commune et vient rejoindre le Né en face de la ville de Blanzac. Un autre, le ruisseau de Saint-Léger, prend sa source dans le sud de la commune et va se jeter dans l'Herse, après avoir traversé la commune de Cressac.

Les terres ensemencées en céréales donnent des récoltes abondantes, et environ cinquante hectares de vignes, produisant des eaux-de-vie très estimées, ont été reconstitués. Parmi ces vignobles
nous citerons tout particulièrement celui de M. Juin, à la Sablière.

La commune de Saint-Léger est traversée dans toute sa longueur par la route de Blanzac à Montmoreau (route départementale N° 10 de Cognac à Ribérac). Il s'en détache deux chemins d'intérêt commun
se dirigeant l'un, vers Porcheresse et l'autre, vers Nonac.

Le petit bourg de Saint-Léger (34 hab.), à deux kilomètres sud de Blanzac et vingt-huit d'Angoulême, est construit au sommet des collines, qui dominent la vallée du Né. Son église n'a rien de remarquable.

Commentaires